Vous êtes vous déjà surpris à accepter d’aller au-delà de vos limites ?
Vous êtes vous déjà pris en flagrant délit de justifier des comportements maltraitants ou déplacés de votre conjoint, de votre ami…
Lorsque vous en êtes au point d’expliquer ou de justifier :
- « oui mais le pauvre ! »
- « Il n’avait pas d’intention déplacée ! »
- « Il n’a jamais de temps à me consacrer mais c’est son job ! »
- « Il avait une compétition le lendemain, c’est pour ça qu’il n’est pas resté »
Alors vous êtes en train de piétiner votre honneur.
Quand vous avez normalisé le manque de respect c’est que vous avez fini par croire que tous ces manques de respect sont légitimes.
Votre entourage vous le fera remarquer ; « réveille-toi ! »
Quelles limites pouvez-vous tolérer ?
C’est probablement la question à laquelle vous ne parvenez pas à répondre.
Avez-vous une idée de ce qui est acceptable ?
Considérez-vous que l’autre à plus raison que vous ou est plus légitime dans son temps, dans ses dires, dans ses demandes ?
Si vous acceptez que l’autre vous manque de respect, il en prendra l’habitude et vous aussi.
Il y a toutes ces bonnes mauvaises excuses que vous vous donnez pour justifier de votre faiblesse :
Vous considérez le passé douloureux de l’autre comme une excuse à des comportements inadaptés et vous êtes devenue trop tolérante !
Est-ce que vous ne posez pas les limites parce que vous ne savez pas faire autrement ou ou parce que vous considérez que vous ne valez rien ?
Quand on sait dire non, le oui a un goût très différent
-Alexandre Jodorowsky-
Oser décevoir l’autre est un challenge !
Accepter une situation ne signifie pas dire oui à tout, c’est aussi la capacité de dire : « non ça ne va pas continuer comme ça, j’ai la capacité d’agir, je suis adulte. »
Posez vous la question : que souhaitez vous changer en vous qui vous empêche de vous respecter ?
Si vous y arriviez que ressentiriez vous en terme de joie, de plaisir, de fierté..
Vous êtes au début d’un voyage qui vous entraînera vers le bien être et la liberté…
Bonjour,
Et quand la personne toxique est votre propre père?
Comment fait on?
J’ai 70 ans et lui 93 ans
Je n’en peux plus, je l’ignore, mais comment faire pour ne pas culpabiliser?
Je vous remercie
Chantal
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